Comparaison

Je peut comparer Chaos avec La Haine. Comme Vinz, Malika veut la vengeance a cause de sa mal traitement. Elle cherche une nouvelle vie mais elle ne peut pas la trouver sans retrouver sa dignité. Avant le fin du film, les femmes trouvent leur liberté et un sens de paix.

Dans les 400 coups, Antoine ne fait partie de sa société, il est exclus. Dans Chaos, Hélène ne fait partie de sa vie aussi. Quand elle commence à aider Malika, elle réalise qu’elle n’est pas contente et qu’elle n’est pas à l’aise. Elle concentre ses efforts à Malika, parce que les deux femmes sont mécontente.

Les hommes

Le fils d’Hélène est un personnage bizarre qui représente la jeunesse et aussi, l’arrogance. Il est gâté et beau. Il est comme son père, il est chauvaniste et sexiste. Il perd sa petite amie à cause de ses traits. On voit un élément de comédie quand les deux hommes sont laissés à eux-même. L’homme ne sont pas bien représenter dans ce film. Les hommes bourgeois comme Paul et Fabrice sont des cochons, les autres hommes qu’on rencontre sont des proxénètes qui vendent les femmes !

Feminisme

Dans le film Chaos, on voit le bourgeoisie et le système de classe en France et partout. L’amitié entre les deux femmes même si elles sont complètement différent est un liens forts entre les deux. Elle représente les deux cotes de société. Le personnage de Paul, représente le macho homme. Il est clair à mon avis que la directrice Coline Serreau est un peu d’une féministe !

Chaos-Quelques Remarques

Chaos est plus moderne que les autres films (2001) qu’on a regardé en classe. En même temps, il est évident que le budget pour ce film n’était pas très haut. Je sais que le budget pour La Haine était très petit, mais il n’était pas évident, il était très professionnel à la différence de Chaos.

On voit la richesse de Paris, l’autre coté qu’en La Haine. Paul et Hélène ont beaucoup d’argent et il habite dans un quartier riche à Paris.

Mais après quelque minutes, on voit la pauvreté et le monde de prostitutions dans le personnage de Malika. Hélène ne peut pas oublié ce qu’il c’est passé le soir quand Paul ferme les portes du voiture et Malika met en danger.

Les personnages de Paul et sa femme sont complètement différent, donc il est difficile de comprendre pourquoi les deux sont encore ensemble. Il est clair que Hélène est touché par l’incident et elle décide de visiter l’hopital ou elle trouve la jeune fille.

Le film est l’histoire de société. Il est facile de se désintéresser complètement des problèmes comme la prostitution et l’esclavage. Paul est un exemple de la plupart de société qui prend ce voie. Mais de temps à autre, il y a des comme Hélène qui lutte contre les grands problèmes de société. Elle ne peut pas sauver toutes les filles de la prostitution et leurs vies difficiles, mais si elle sauve une fille, elle fait un différence.

http://www.focoproject.com/imagenes/peliculas/haine03.png

Les mecs s’ennuient. Ils attendent. Il y a un zoom au tête d’Hubert. Vinz dit qu’il a « un truc à vous montrer ». Il a un gun/revolver. Le caméra suit Vinz comme un train alors qu’il arrive à Vinz et le revolver. On nous écoute à courir. Le caméra arrête avec un « pow » pour nous rappeler qu’ils sont juste jeunes garçons. On voit encore la thème des trains ici que Kassovitz répète pendant le film. Il est comme Vinz essaie d’arreter un train avec un revolver. A mon avis, ça représente sa vie.

Il n’y a pas beaucoup de lumière, ça représenta la gravité de la situation. Vinz apparaît très nerveux bien qu’il essaie d’apparaître sur. La lumière suit le revolver toujours.

Mais comme d’habitute, Kassowitz détend la situation avec un peu d’humeur. Said n’est pas autoriser de jouer avec le revolver.

On avait vu cette scène avant, quand Vinz a rêvé il était au sous-sol. Le revolver a s’empare de ses rêves. Il est comme une pièce dans le théâtre au sous-sol. La lumière suit Vinz, quand il départ avec le revolver, la scène finit et la lumière disparaît. Le drame réel commence maintenant. On est introduit à un nouveau Vinz, un Vinz sur un mission. Quand il se promène à l’hopital, le style est très Hollywood, très américain. Le revolver est devenu sa colonne. Pourquoi est-ce qu’il a mit le revolver dans le dos ? Il n’est pas pratique, mais il est juste un garçon qui a vu trop de films. Il s’approche la police prêt pour l’affrontement. C’est la seule scène ou la police est dépeint positivement. Kassovitz a choisi un acteur avec une jeune innocente visage pour cette scène.

La premiere scene

Le message dans la première scène est un message de surveillance. Said apparaît nerveux.

Dans le HLM tous les résidents s’involvent avec les autres. Quand Said parle avec la soeur de Vinz, le voisin participe dans la conversation.

Kassovitz utilise le travelling dans la scène ou on voit la guerre entre les banlieusards et le CRS (les police pour les émeutes). La police nous regarde dans cette scène. L’atmosphère est tendue.

L’image de Said est en gros plan, un zoom sur le visage. C’est intéressant parce que la dernière scène est aussi un gros plan de Said mais contre-pied. Il ouvre ses yeux ici mais à le fin, il ferme ses yeux. Est-ce qu’il rêve ? Après il les ouvre, le caméra va derrière de lui, comme nous sommes Said. C’est pour l’empathie. Le banlieue est comme un prison.

À propos de rêves, Vinz rêve aussi dans la scène. Il est clair qu’ils veulent une autre vie. On sait aussi que Vinz est un juif quand il rêve, il danse comme un juif.

Il y a aussi l’humeur ici parce que, Said gagne contre la police et il écrit sur leur camionnette. Aussi, la soeur de Said, c’est une blague que Kassovitz réutilise pendant le film.

On voit les baskets dans la chambre de Vinz c’est l’influence du culture américain sur les banlieusards.

Kassovitz nous introduit aux noms des personnages dans la scène. Said écrit son nom sur le camionnette et Vinz porte une bande qui dit « Vinz ». Je me souviens de voir le nom d’Hubert sur une affiche quand on le rencontre plus tard dans le film.

Il y a beaucoup de contrastes dans cette scène. Les polices sont blancs et blondes, ne personne est musulman comme Said. On voit aussi le contraste entre l’homme vieux et Said qui est jeune dans la scène.

On voit l’ennui, il est le meilleur séquence. Tout le monde attend pour quelque chose dans La Haine. L’horloge qui apparaît pendant le jour.

Le revolver

On voit les revolvers souvent dans ce film. Il est un objet d’importance dans ce film parce que ça représente quelque chose qui peut arrêter la police et la vengeance pour Abdel. Vinz fait un revolver avec sa main. Il fait le mouvement encore à la cinéma quand il regarde un film. Près du fin, Vinz disparaît. On pense qu’il va tuer un membre de la police. Mais il ne le fait pas, il l’imagine. Quand Said et Hubert sont presque tué par les « skinheads » Vinz arrive avec le revolver. Le revolver est un thème périodique dans la Haine et c’est aussi la raison pour le mort de Vinz, Hubert et la police. Donc on voit que le revolver ne fait rien que causer les problèmes.

Hubert

J’adore la scène ou Hubert prépare les drogues. Le caméra est en gros plan et il ne bouge pas. C’est Hubert qui bouge. Il est près du caméra, loin du caméra. Il concentre, il fait le travail, il bouge et il bouge les objets dans sa petite chambre mais le caméra reste en même position. Il s’ennuie un peu, il est comme un animaux dans une cage. Est-ce que ça représente sa vie ?

Quelques remarques. . .

La Haine est un film très émotionnel. Les trois hommes représentent un homme. Said est beur (Nord-Africain), Vinz est un juif, Hubert est noir. Hubert est intelligent, Said, comique et Vinz faché et menaçant, mais il n’est pas un tueur. Il est très agressif (par exemple a la fête a Paris) mais est-ce qu’il agit ? à mon avis, non. Hubert est l’intellectuel du groupe. Mais il n’est pas un ange, mais il est très calme.

Kassovitz utilise les anecdotes « so far so good » c’est l’optimisme éternelle.

Abdel est seulement une image, on ne le vois jamais.

La première image après la générique est ce de Said et son visage. En plus, la dernière image est aussi Said.

Graffiti

Kassovitz, le réalisateur utilise le graffiti pour transmettre les messages et les thèmes dans le film. Par exemple ‘your mother sucks bears’ représente l’exlusion et la colère contre la système.

‘L’avenir, c’est nous’ est écrit sur la mur derrière Hubert. Hubert veut changer sa vie et il veut échapper la vie difficile dans les banlieues mais c’est une lourde tâche à cause de l’exclusion. Les gens qui habitent dans les banlieues n’ont pas beaucoup d’espoir mais ils rêvent.

Mon représentation préféré des hommes par des panneau d’affichage était limage de «portrait d’un tueur (de soif) » sur un arrêt de bus. Mais la tête de Vinz bouche les mots « de soif » donc ça représente l’image de Vinz comme un tueur. L’image est très astucieuse et un peu ironique.

Quand Said, Hubert et Vinz se promènent à Paris le soir, il y a un grand panneau d’affichage qui dise « Le Monde est a-vous », Said le change avec un marqueur de « Le Monde est a-nous ». Il est un idéaliste, il veut échapper à sa vie mais malheureusement, ça n’est pas très facile.

La prison

Il y a un thème du prison et la capture dans ce film. La générique représente la prison en plus, les banlieues où Hubert, Said et Vinz habitent. Il y a aussi un message anti-police. La première scène : on a Said et les polices, il les regarde et on le voit à faire un dessin sur l’arrière du véhicule.

Quand la journaliste arrive, elle veut une interview avec quelqu’un mais les jeunes mecs ne veulent pas parler avec elle. Elle est dans une camionnette en haut et les garçons sont dans la cour comme des animaux dans un zoo. Ça représente encore la thème d’exclusion et les vies différentes qu’on vivent à Paris.

Hubert représente en particulière l’impossible d’échapper la vie difficile dans les banlieue. Il veut se détacher de sa vie mais il est impossible parce qu’il est piégé. Il faut vendre des drogues pour survivre.

La première impression-La Haine

Je suis juste après voir La Haine ce soir pour la première fois. Le film était vraiment excellent, je l’ai préfère plus de 400 coups parce qu’il y avait une histoire, l’action et des personnages très intéressant. J’ai aimé beaucoup Hubert. J’ai trouvé le personnage de Said un peu près d'Antoine dans les 400 coups. Il cherche l’attention et l’acceptance et il est exclus de temps en temps mais il joue un rôle très important aussi.

Il n’y avait pas un personnage principal dans ce film, les trois mecs, Vinz, Said et Hubert étaient tous importants dans le fil et les rélations entre les deux étaient un grand thème dans le film. Je discuterai les thèmes plus demain.

Les consequences

Quand Antoine a volé la machine a écrire, il essai de la vendre mais ça ne marche pas malheureusement. Il essai de faire ce qu’il faut mais ça ne marche pas aussi, il était pris la main dans le sac. A mon avis le message ici est si on n’a pas la prudence à la recherche de la liberté, on perd toute la liberté qu’on avait. Il est mettre en prison pour les jeunes. Quand un jeune homme arrive qui s’est enfui, les garçons se moquent. Chez le psychologue, il raconte l’histoire quand il a volé d’argent de sa grand mère, il l’a appris au sa mère.

La duplicité

Le secret et la duplicité sont deux thèmes majeurs dan Les 400 Coups. La mère d’Antoine n’a pas acheté une housse de couette pour lui bien que l’argent qu’elle ait reçu de son père. Son beau-père fait des excuses pour sa femme, elle a une liaison avec un autre, Antoine ne va pas en école, Antoine vole une machine à écrire au son beau-père. Son beau-père pense que quelqu’un a volé son guide Michelin. Quand Antoine a retourné aux école après son absence, il a menti à propos de sa mère. Il dit qu’elle est morte. Ce mesonage, crée plus de problèmes pour lui et il augment le niveau d’exclusion. Quand il fait un effort et il écrit une rédaction, son professeur pense qu’il a plagié.

Le secret

Le jour ou Antoine ne va pas en école, il voit sa mère avec un autre homme. Cette scène représente, le voile du secret dans ce film. En même scène, un jeune garçon dans sa classe lui voit dans les rues et il va chez-Antoine pour dire a son beau-père qu’il n’était pas en école. Mais ce petit garçon ne dit pas directement qu’Antoine n’était pas là, il veut savoir « si Antoine est encore malade ». Il n’y a pas beaucoup de franchise dans ce film et on la voit aussi avec le plan. Antoine ne regard pas dans la lentille sauf que le fin du film.

La liberté

Antoine s'ennuie en classe. Il veut la liberté, donc, sous l'influence de son copain René, il fait l'école buissonnière dans Paris bien qu’Antoine ne le veuille pas. Ils sont allés au fête foraine pendant l’école. Antoine a un bon cœur et il dit a son ami qu’il va en école le lendemain, il a des bonnes intentions.
Quand il départ la maison, il veut disparaître. Il veut être libre.
Au fin du film, quand Antoine est départi au prison, ça répresente, son liberté éventuelle. Avant la scène ou il commence a courir, tous les garçons font la queue, il apparaît très régimentaire. Quand il arrive à la plage, enfin, il est libre.

Any given sundance-The Simpsons

1918 Any Given Sundance

L'exclusion

L’exclusion est un thème majeur dans ce film. On le voit a partir du premier scène jusqu'au le fin du film. Antoine est exclus en classe par son prof et aussi les autres garçons. Il est exclus chez-lui par ses parents. Sa mère ne le regard pas quand elle parle avec lui. Dans cette image, il est seul et son visage est destabilisé.

Les 400 coups-La générique video

Les 400 coups-La générique

La générique du film est présenté comme un chat et une souris parce que le caméra cherche la tour Eiffel. Quand on arrive à la tour, et quand on la passe, le film commence. La message ici est qu’on cherche quelquechose mais la vie continue. Cette scène est présenté comme un travelling avec un caméra à la main. Il n’y a personne dans la scène. Paris est aussi la thème dans la générique et la ville apparaît tranquille et picturesque. Il n'y a pas de couleur mais à l’arrière plan de la tour noir, le ciel est blanc. Le plan est distant et aussi un gros plan.

La générique ne m’interesse pas beaucoup et elle n’éveille pas la curiosité, mais elle est picturesque et belle et si on s’interesse à Paris et peut-être l’amour, on continue à regarder ce film.

Bienvenue chez les Ch'tis

Bienvenue chez les Ch’tis

J’ai vu ce film en France quand j’ai fait un Erasmus du janvier 2008 jusqu’au mai 2008. J’ai trouvé que le cinéma français était une bonne façon d’apprendre la langue française.

Cette comédie est située dans le Nord-Pas-de-Calais en France. Le film était très célèbre en France et il avait beaucoup de succès au guichet. Le personnage principal, Philippe, est forcé d’aller au Nord pour travailler à la Poste. Il le déteste, il pense que les gens du ville sont vieux jeu. Mais, on voit qu’il devient un grand ami avec son collègue Antoine.

Il distribue la poste aux gens locales, il fait des amis parce que tout le monde invite Philippe à prendre un verre chez eux. Il commence à aimer sa vie nouvelle mais il dit a sa femme qu’il déteste sa vie au Nord. Quand sa femme, Julie, arrive, tous les gens prétendent que le village est affreux pour prévenir son séjour. Mais elle décide qu’elle veux rester là. Antoine et sa femme, se marient, et tout le monde son heureux.

Selon les critiques, Bienvenue chez les Ch’tis est « l’une des meilleures comédies françaises de ces dernières années ». Je suis tout à fait d’accord avec ce déclaration parce que j’ai trouvé que ce film était drôle et amusant. On a vu les rapports entre Antoine et Philippe qui sont devenues une amitié. On a vu aussi les relations entre Antoine et Philippe et leur femmes. Ce film était idéal pour me comprendre la culture française et les différences entre le Nord et la Sud et les différences culturelles entre les deux. Il était très joyeux et je recommanderais ce film au gens qui veulent rire !